vendredi 12 février 2010

Minuit 2 de Stephen King


Quatrième de couverture

Vous-êtes-vous déjà demandé ce qui se passe après-minuit? Tout bascule. Le temps se courbe, s'étire, se replie ou se brise en emportant parfois un morceau de réel. Et qu'arrive-t-il à celui qui regarde, les yeux écarquillés, la vitre entre réel et irréel juste avant qu'elle explose et que des aiguilles de verre se mettent à voler en tous sens ? Les cauchemars de Stephen King vous empêcheront longtemps de dormir après minuit.

Minuit 1: L'heure où un avion peut atterrir dans le néant, le monde des Langoliers.

Minuit 2 : L'heure où un écrivain peut rencontrer le pire, dans un jardin très secret d'où l'on ne revient pas.

Après minuit, c'est toujours l'heure de Stephen King.

"Stephen King : l'art de tuer le lecteur. Délicieusement" (L'Express) --Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.


L'auteur vu par l'éditeur
Universellement reconnu comme le grand maître de l'épouvante (Simetierre, Shining, Ça), de la S-F et de la fantasy (Les Tommyknockers, La Tour Sombre), il sait aussi se faire le critique virulent de la société libérale américaine (Marche ou crève), évoquer les affres de l'adolescence (Carrie) ou relever le défi du feuilleton (La ligne verte).


Avis

Ce livre comporte deux nouvelles, la première Les Langoliers est selon moi la meilleure des deux.
Perdu dans l'espace temps, les occupants d'un avion vont devoir trouver le moyen de revenir dans le présent.
Amateurs de sang, passez votre chemin, ceci est une nouvelle prenante mais pas horrifique. Elle tient en suspense du début à la fin.

La seconde nouvelle raconte l'histoire d'un écrivain qui se croit persécuté par un fou qui prétend que l'auteur lui a volé une de ses nouvelles. J'ai trouvé cette nouvelle longue et confuse, je n'ai pas réussi à m'attacher à l'histoire.

Un recueil inégal, dommage cela fait baisser la note !

A noter que les deux nouvelles ont été adaptées à la télévision (Les Langoliers) et en un film fenêtre sur cour avec J.Deep.

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