vendredi 12 février 2010

Sa majesté des mouches de William Golding


Quatrième de couverture

Soit un groupe d'enfants, de six à treize ans, que l'on isole sur une île déserte. Qu'advient-il d'eux après quelques mois ? William Golding tente l'expérience. Après les excitantes excursions et parties de baignade, il faut s'organiser pour survivre. C'est au moins la réflexion de Ralph, celui qui fut élu chef au temps heureux des commencements, et du fidèle Piggy. Mais c'est ce que refusent de comprendre Jack, le second aspirant au "trône", et les siens. Cette première division clanique n'est pas loin de reproduire un schéma social ancestral. S'ensuivent des comportements qui boudent peu à peu la civilisation et à travers lesquels les rituels immémoriaux le disputent à une sauvagerie d'une violence sans limite.


Avis


Rescapés d'un accident aérien, des enfants se retrouvent isolés sur une île déserte. On assistera dans ce roman à la création de 2 groupes et de 2 modes de fonctionnement totalement opposés. L'un se veut pacifique et met en avant la diplomatie, l'autre est basé sur la force et la violence.
J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et j'avoue, du mal à finir le livre. Cependant, je ne peux nier que ce roman est une critique des schémas sociaux (la loi du plus fort) mise au niveau des enfants. Que se passe-t-il quand un groupe d'enfants doit apprendre à se gérer, quelle est la méthode de survie qui dominera ? Même si je n'ai pas beaucoup apprécié, je lui relève une qualité, à savoir, quelle est l'incidence des schémas sociaux sur le comportement de la population.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire